Véronique PITTET - La supercherie d’une «juge» vaudoise
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Supercherie au Tribunal d‘Yverdon-les-Bains Procès pénal Claude BUDRY  c/Gerhard ULRICH accusé pour une prétendue calomnie 27.11.17  «Présidente» Véronique PITTET-VUILLÈME
Procès en 3 actes Texte parlé : en police romaine, noir Commentaires : en italique, noir Texte traduit : en rouge Me Rd = Me Reymond, avocat de G. Ulrich Les requêtes d’avoir une salle plus grande et de l’enregistrement audio-visuel ont été balayées par la «juge». Les journalistes sont autorisés à filmer dans la cour, devant le Tribunal. Ils sont escortés par 2 policiers. Le plaignant est appelé, assisté par son avocat. L’accusé est appelé, accompagné par son défenseur. Les journalistes sont appelés. Un policier confisque les portables des observateurs qui sont admis dans la salle. 60 à 70 observateurs ont fait le voyage, mais le prétoire est équipé seulement avec 20 chaises. L’accusé a établi une liste d’accès prioritaire. 3 sbires en civil sont placés dans le public Acte 1 : 5 minutes Juge : « Accusé, levez-vous ! » Accusé : « Je présume que vous êtes Véronique PITTET. C’est votre droit de m’ordonner de me lever, et c’est mon droit de rester assis. » Juge : « Alors je vous permets de rester assis ». L’audience est ouverte. Le plaignant Claude BUDRY, assisté par son avocat Eric HESS a comparu. L’accusé Gerhard ULRICH, assisté par son avocat d’office, Me Georges REYMOND a comparu.» Enervement de la juge car certains n’entendent pas et le font savoir. L’interprète ne parle pas, il murmure et est particulièrement mauvais dans ses traductions. Il est donc abstraction de ses interventions dans cette transcription.  La juge menace donc de faire sortir quiconque dans la salle qui se manifestera bruyamment exigeant  un public docile et muet. Juge : « L’accusé est identifié. Êtes-vous Gerhard ULRICH ? » Accusé : « Do ut des » (Je te donne, afin que tu me donnes.) Juge : « Êtes-vous Gerhard ULRICH ? » Accusé : « Frédéric le Grand a ordonné que tous les juges de son royaume portent des robes noires, ‘afin de reconnaître les filous tout de suite de loin’. Vous, Madame, vous portez une robe noire. Je déduis donc, que vous êtes une juge vaudoise. » Juge : « Greffière, verbalisez que l’accusé refuse de s’identifier. » Accusé : « Pas du tout. Mais : Do ut des.» Juge : « Alors, vous êtes Gerhard ULRICH ? » Accusé : « Exact » Juge : « Né le 16 décembre 1944 à Winterthur ? » Accusé : « Exact » Juge : « Citoyen de Waltalingen, canton de Zurich ? » Accusé : « C’est ça » Juge : « Fils de Johann ULRICH et Anna, née BÜHLMANN ? » Accusé : « Oui » La juge veut continuer, mais l’accusé se lève, s’avance devant la table de la juge, se dirige ensuite vers l’avocat du plaignant, Claude BUDRY assis à ses côtés, ensuite il revient vers son avocat, transmettant à tous les 3 une feuille, intitulée : Demande de transparence. La juge fait ramasser les feuilles par sa greffière qui les rend à ULRICH. Accusé : « Je me suis identifié, alors je veux savoir à mon tour, à qui j’ai à faire. Je prie Véronique PITTET, Me Eric HESS et Me Georges REYMOND de remplir ce formulaire de demande de transparence. Puisque nous sommes confrontés à un complot maçonnique, ce n’est que logique. Je veux connaître votre appartenance éventuelle à des sociétés secrètes ». La juge s’énerve et ordonne à l’accusé de se taire. Juge : « Maître REYMOND, expliquez à votre client que c’est vous qui le représentez, et que tout ce passe entre vous et moi. Avez-vous une requête préliminaire pour une décision incidente à présenter ? » Me Rd : « Euh, oui, Madame la Présidente. Mon client désire de pouvoir apporter la preuve d’avoir dit   la vérité. » L’accusé parle à son avocat, et celui-là continue : « Madame la Présidente, Monsieur ULRICH me demande de présenter lui-même une requête pour une décision incidente. Je ne peux pas le faire, car je ne la connais pas. Je ne peux tout de même pas présenter n’importe quoi ». L’accusé insiste vis-à-vis de son défenseur de pouvoir présenter lui-même cette requête. Juge : « Nous interrompons l’audience pour 5 minutes, afin que Monsieur ULRICH puisse s’accorder avec son avocat ». La transcription  a été reconstituée selon la mémoire de l’accusé, assisté par l’une des observatrices dans le public. Idem pour ce qui sera à rapporter au sujet des entractes. Les actes II et III ont été enregistrés à l’insu de la Juge. Premier entracte L’accusé se rend avec son défenseur dans une pièce réservée aux avocats pour discuter avec son client. Me REYMOND explique que les requêtes sont à présenter impérativement par l’avocat, et non pas par l’accusé. L’accusé répète qu’on affronte le complot maçonnique en l’espèce, et qu’il n’est que logique dans ces circonstances de demander à tous les acteurs de la justice la transparence, quant à leur appartenance éventuelle à des sociétés secrètes, donc y inclus à son propre avocat. Me REYMOND refuse avec véhémence de signer un tel formulaire, tout en déclarant qu’il n’est pas franc- maçon. L’accusé rétorque qu’il doit le croire, sauf preuve contraire, mais qu’il serait possible qu’un non-franc- maçon soit sous l’emprise des sociétés secrètes. REYMOND, se sentant visiblement sous pression, éclate en sanglots. Il débite ses phrases. Non, exclu de signer un tel formulaire. Il demande, pour quelle raison son client ne l’avait pas averti lors des séances de préparation du procès. L’accusé explique que les francs-maçons agissent de rigueur dans le secret le plus total. Dans ces circonstances, il serait fatal de jouer cartes ouvertes. Après avoir constaté mutuellement que le lien de confiance était rompu, Me REYMOND explique à son client, qu’il était possible que la juge ne le délie pas de son mandat, lui imposant la défense forcée. L’accusé  lui recommande alors de suivre la ligne de conduite de son ancien avocat d’office. Quand le juge WINZAP lui avait ordonné au début de ce procès du passé, d’assumer, Me Urs SAAL a déclaré avec détermination qu’il refusait, quitte d’être éjecté de l’Ordre des Avocats Vaudois. 40 à 50 observateurs en puissance n’ont pas été admis dans la salle d’audience, et attendaient dans le corridor. Certains sortirent dans la cour pour fumer. Ils voyaient arriver le Procureur général VD, Eric COTTIER dans son carrosse, l’ingénieur en chef de la corruption dans le canton de Vaud, ayant 2 crimes judiciaires à son palmarès (affaires SÊGALAT + LÊGERET). Escorté par 2 policiers en uniforme, il disparaissait dans le bâtiment. Une coïncidence ? Acte II : 3 minutes – La perte de confiance entre avocat et client 300 journalistes ont été informés de la tenue de ce procès. Seulement les Allemands Volker HOFFMANN et Klaus OVERHOFF ont fait le voyage – aucun Suisse. L’Omertà helvetica est imposée aux pauvres diables de journaleux avec rigueur. Attendant l’entrée dans la salle, le franc-maçon plaignant Claude BUDRY, calomniateur, incendiaire criminel et escroc à l’assurance, est de nouveau positionné à 2 m de distance, face à Gerhard ULRICH, accusé abusivement de calomnie. Auparavant, BUDRY avait bravé le contact des yeux recherché par ULRICH. Le regard de BUDRY lançait à ULRICH le défi : Je vais te démolir, nain misérable. Hélas, depuis cette attente dans les pas perdus pour entamer l’acte II, BUDRY fuyait le contact visuel de Gerhard ULRICH. Juge : « Asseyez-vous. Voilà. L’audience est reprise. Maître REYMOND ». Me Rd : « Oui Mme la Présidente.» Juge : « Est-ce que j’ouvre le procès-verbal ? » Me Rd : « Alors, la pause a permis de mettre en évidence une rupture du lien de confiance entre M. ULRICH et moi-même qui donc je suis prêt pour ces raisons qui me conduisent à demander à être relevé de mon mandat d’avocat d’office». Juge : à la Greffière « OK donc Me Georges REYMOND demande à être relevé de son mandat de défendeur.  Doki, d’accord, alors je vais statuer sur ce point là - je vous demande deux petites secondes. Vous voulez peut-être plaider ou..? » Me Rd : « Alors oui Mme la Présidente, très brièvement, je dois dire que je connais M. ULRICH de longue date, c’est vrai que je l’ai défendu dans plusieurs causes, il m’a demandé d’être son avocat dans ce dossier euuuuh la raison pour laquelle M. ULRICH n’a pas les moyens d’assumer un avocat, j’ai demandé à être désigné avocat d’office, effectivement j’ai été désigné avocat euh d’office, euuh ce qui m’a conduit aujourd’hui à demander à être relevé de mon mandat ce sont des faits qui sont apparus aujourd’hui, sinon je l’aurai fait euh au préalable, aujourd’hui euh alors sans porter aucun jugement sur les demandes de M. ULRICH ; M. ULRICH me demande de signer euh une demande de transparence sur laquelle euh il souhaite que j’indique si je suis franc-maçon, si j’appartiens à d’autres associations telles que le ROTARY, le LIONS CLUB… les ZOFINGIENS, l’OPUS DEI ou d’autres associations donc, par rapport à la matière concernée, mon mandat jusqu’à présent était toujours basé sur un rapport de confiance et je soutiens qu’il n’y a aucune raison de signer ce formulaire. De plus il souhaite que je produise comme vous avez demandé à ce que les pièces soient produites par l’avocat et non par le prévenu, ce que je comprends tout à fait.  M. ULRICH voudrait que je produise ce formulaire et me demande de le remplir ce que je ne peux pas le faire par rapport à l’éthique et par rapport à la déontologie euh c’est ce qui m’amène aujourd’hui à réagir avec M. ULRICH en bonne harmonie. Il y a rupture du lien de confiance, réelle raison pour laquelle bien malgré moi, pour la suite de l’audience, je demande à être relevé de mon mandat d’avocat  d’office. » Juge : « Ok, vous souhaitez vous exprimer Me HESS ? » Me Hess : « Juste brièvement, pour dire qu’il y a des dossiers difficiles, il y a des clients difficiles j’avoue que je suis très heureux d’être à ma place plutôt qu’à celle de mon confrère cela étant le lien de confiance qui contrôle les liens personnels entre mon estimé confrère et son client est important ». Juge : « Rien à ajouter ? On va suspendre. Je vais statuer. Je vous demande de vous retirer le temps que je statue je vous demanderai de prendre toutes vos affaires avec vous ». Deuxième entracte L’accusése rend au guichet de la dame qui assume la fonction d’huissier. Il lui remet 3 grandes enveloppes, adressées à la juge et les 2 avocats, contenant sa requête d’une décision incidente motivée. La dame se rend dans la salle d’audience, pour revenir aussitôt. Elle hausse les épaules : Madame la Présidente refuse de se faire remettre ces enveloppes. La pause tire en longueur. Atmosphère hilare entre observateurs du procès. Ceux qui ont dû rester dehors, ont reçu, comme ceux qui ont pu rentrer dans la salle, copie de ladite requête. Tout le monde se demande, ce que Madame la Présidente bricole entretemps. L’accusé présume, qu’elle est au téléphone avec Lausanne, pour se faire donner les instructions, sur quoi faire dans cette situation peu fréquente. Autre hypothèse : elle se fait donner les ordres par le Procureur général COTTIER, venu exprès de Lausanne, pour diriger les opérations dans les coulisses. Au bout de 20 minutes, l’accusé demande à l’huissier d’aller annoncer à la Présidente qu’il quittera le Tribunal, si l’interruption devait durer encore plus de 5 minutes. Les 5 minutes écoulées, l’accusé ouvre la porte du prétoire, et annonce à Mme la Présidente, que lui et ses sympathisants quittent le prétoire. Elle répond, qu’il faut juste encore patienter 4 minutes. L’accusé : « 4 minutes, pas une de plus. » Ce laps de temps écoulé, l’accusé invite la foule de se déplacer à l’extérieur dans la cour pour recevoir les consignes pour la suite du jour. Les gens commencent à se faire remettre leurs portables. Quelques personnes ont déjà récupéré leurs portables, quand Madame l’huissier accourt, tout excitée, pour annoncer que l’audience est reprise. Acte III : L’accusé, empêché de s’exprimer, préfère quitter la salle (18 minutes) De nouvelles personnes sont parmi les 21 observateurs/témoins autorisés BROUHAHA DANS LA SALLE Juge : « Je vais vous donner lecture de la décision que j’ai rendue. Vu la requête déposée par l’avocat Georges REYMOND en date de ce jour considérant que celui-ci demande à être relevé de son mandat de défenseur d’office au motif que la confiance est rompue et considérant la demande de transparence par laquelle il doit attester qu’il n’appartenait pas à certains clubs de services, que son client lui a également demandé de produire ce genre de formulaire à l’intention du Tribunal, que dans ces conditions, il estime que la confiance est rompue, considérant que conformément à l’article 134 al 2 du CCP sur la relation de confiance entre prévenu et défenseur d’office est gravement perturbée (…), il n’y a pas lieu, le justifiant lorsque le défenseur d’office ne rencontre pas une stratégie de défense problématique (…) selon là (…) (énumération de jurisprudences.) Qu’en l’espèce, les circonstances invoquées par l’avocat Georges REYMOND ne justifient pas un changement de défenseur d’office, (…), ne sont pas de nature à empêcher son mandat. Par ces motifs, le tribunal, appliquant l’article 134, alinéa 2 et 339, alinéa 2 du CCP rejette la requête formulée par Me Georges REYMOND et maintient la défense à la charge de Me REYMOND. Voilà donc, vous n’êtes pas relevé de votre mandat, Le Tribunal estime qu’en vertu qu’en dépit de ce que pouviez lui demander(…) vous êtes maintenu dans votre charge pour assurer la défense. » Juge : « s’adressant à l’interprète : « Vous pouvez peut être  traduire à Monsieur ULRICH», à la greffière :   « Vous m’enregistrez l’acte » Juge : « Alors euh, donc on va revenir aux réquisitions précises que je n’ai pas encore traitées, donc euh,   euh donc vous avez euh déposé cette requête incidente hein ? ». Me Rd : « Oui mais je laisse M. ULRICH …». Juge : « Euh tout passe par vous, vous êtes là, tout passe par vous ! ». Me Rd : « Ça va être difficile Je ne sais même pas quelle est cette requête incidente. Je ne peux pas en parler, donc voilà ! » Juge : « Ah vous ne savez pas ? » Me Rd : « Non il ne m’en a pas parlé, donc voilà il m’a donné des papiers, mais il y a des pages et des pages, c’est quand même compliqué de le faire moi-même alors que je ne sais même pas de quoi il s’agit ». Juge : « Alors voilà, vous allez donc parler M. ULRICH je veux bien écouter la requête incidente. J’estimerai si c’est formellement une requête incidente ou pas et une fois que vous aurez parlé, je regarderai avec Me REYMOND, d’accord ?» Accusé : « D’accord » Juge : « Alors, vous voulez une traduction ou pas Monsieur ULRICH ? » Accusé : « Oui » Juge : « Alors je vous écoute Monsieur ULRICH » Juge : à l’interprète « Allez-y, vous traduisez, traduisez ! » Traduction très laborieuse de l’interprète Juge : « Alors je vous écoute Monsieur ULRICH ». L’accusé se lève pour prendre la parole. Juge : « Asseyez-vous ! » L’accusé reste debout. Véronique PITTET d’une voix énervée et exaspérée : « Monsieur ULRICH quand je vous demande de vous lever vous ne vous levez pas et quand je vous demande de vous assoir vous ne vous asseyez pas, c’est à ne plus rien comprendre ». Accusé : « J’ai l’habitude de m’exprimer debout.» Juge : « Ok vous pouvez rester debout,  ok alors allez-y ». » Accusé : « Ici nous parlons d’un complot maçonnique, et où il y a complot, il n’est que logique … il n’est que logique de soumettre aux parties, et y inclus au juge une demande de transparence, pour savoir, si vous ou l’avocat de la partie adverse, ou mon propre avocat sont membres de sociétés secrètes ». Juge : « D’accord » Accusé : « Maintenant, j’arrive à la présentation proprement dite : requête d’une décision incidente ». Juge : « Là M. ULRICH c’est, on essaye de voir comment on va gérer le problème, on n’est pas sur le fond ». Provoqué par une fausse traduction Accusé : « Non, non ! Une requête pour une décision incidente. Je l’ai très bien compris ». Flottement, causé par la juge. Juge : « Bon, allez-y ! » Accusé : « Non, il n’y aura pas d’abjuration ». L’interprête reste muet, incapable de traduire. Accusé : « Nous avons ici un Alsacien, je crois, Monsieur JUND… » Josef JUND .  « Oui » Juge très excitée « Non ! Stop, stop, stop, stop ! OK, Ok il y a  un traducteur il est ici, alors vous expliquez ». Accusé : « Non, il n’y aura pas d’abjuration. On est noyé dans les évidences du crime crapuleux couvert par le crime judiciaire ». Juge : « Si vous aviez un document écrit peut-être à donner à l’interprète » Gerhard ULRICH donne un mémoire à l’interprète, sans pour autant que ses capacités à traduire ne s’améliorent ! Juge : « Et vous demandez quoi M. ULRICH, qu’est-ce que vous voulez de ma part ?  Qu’est-ce que vous voulez M. ULRICH ? ». Accusé : « Non, il n’y aura pas d’abjuration. On est noyé dans les évidences du crime crapuleux couvert par le crime judiciaire. Je continue à dénoncer le complot aux dépens du paysan Jakob GUTKNECHT. » Juge : « Alors Monsieur ULRICH, moi j’ai compris la première, vous demandez que je vous coche si j’appartiens à un club de services, ça j’ai compris, la deuxième c’est quoi Monsieur ULRICH ». Accusé : « Non, je ne suis même pas encore là. Je veux seulement requérir une décision incidente, et ne pas être interrompu en permanence ». Juge : […] Incompréhensible. Il semble qu’elle permet à l’accusé de continuer. Accusé : « Non, il n’y aura pas d’abjuration. On est noyé dans les évidences du crime crapuleux couvert par le crime judiciaire. Je continue à dénoncer le complot aux dépens du paysan Jakob GUTKNECHT. Requête d’une décision incidente… » Juge : « Voilà stop stop, écoutez M. ULRICH, moi je veux bien vous écouter d’accord, mais là vous êtes en train de faire un monologue, OK, moi je veux savoir ce que vous voulez et vous me répondez ». Très énervée et très fort : « Qu’est-ce que vous VOULEZ ? » Accusé : « Une requête d’une décision incidente ! » Juge : « Non ! Qu’est-ce que vous voulez ?  Hein faites ce que je dis ! » Accusé : calmant la juge : « Oui, oui, Madame ». Juge : hystérique : « Qu’est-ce que vous voulez ? » Accusé : « Il est requis que les requêtes soumises le 18.10.17 soient intégralement implémentées pour célébrer ce procès ». Juge : « Par ma récusation ? C’est quoi ? » Accusé : « Par courrier du 20.11.17, vous avez rejeté l’essentiel de ces requêtes, en ignorant tout simplement les motivations fouillées présentées. C’est inadmissible. Il est exclu que la juge de céans, Véronique PITTET puisse enquêter les crimes constatés, commis par ses supérieurs, voire elle-même. Il serait incompatible de laisser des magistrats vaudois instruire la dénonciation ci-dessous. Le conflit d’intérêt est trop évident ». Le portable d’une personne dans le public sonne. « Cette dénonciation est à transmettre impérativement à une instance fédérale. Ce procès du 27.11.2017, BUDRY c/ULRICH est à suspendre séance tenante ». Policier à gauche dans la salle à un témoin : «Monsieur, vous avez un téléphone. C’est interdit.» Interpellation de l’accusé : « Silence ! » Brouhaha dans la salle à cause de l’incident du téléphone - les voix de l’interprète et de l’accusé deviennent inaudibles. Accusé : continue : « Vu le nombre de magistrats impliqués dans ce scandale, il est irréel de prétendre que les magistrats vaudois restants n’auraient aucun lien, soit par corporatisme, voire par l’effet des sociétés secrètes, avec leurs collègues/supérieurs accusés….» Juge : crie « Alors vous sortez tout de suite vous sortez ! J’ai demandé à ce qu’il n’y ait pas d’appareils, euh vous sortez ! J’ai demandé à ce que les téléphones portables soient déposés. Vous n’avez pas respecté alors vous sortez ». Le « coupable » quitte la salle. « Voilà je vous écoute reprenez M. ULRICH. Dites à M. ULRICH de reprendre ». L’interprète baragouine. Accusé : continue : «…soit par corporatisme, voire par l’effet des sociétés secrètes, avec leurs collègues/supérieurs accusés ». Juge : « Donc M. ULRICH, écoutez-moi, maintenant j’ai compris vous demandez ma récusation c’est d’accord ? » Me Rd : « Nous sommes en train d’apprécier la traduction » Juge : (laquelle comprend manifestement très bien l’allemand) « Alors il a demandé ma récusation ? » Me Rd : parle de façon inaudible Accusé : « Pas tout-à-fait ». Juge : « Non je ne suis pas d’accord, non je ne suis pas d’accord, Monsieur ULRICH, Non Monsieur ULRICH vous m’écoutez s’il vous plait ». J’ai bien compris, Me REYMOND il me demande que je signe une déclaration de transparence si j’ai bien compris et puis il demande ma récusation ». Me Rd : « Je crois qu’il voulait demander autre chose ». Juge : « Alors vous demandez ma récusation ? Autre chose ? Ben moi je sais pas. Ecoutez Monsieur ULRICH… » Accusé : L’accusé interrompe la juge : « Le droit d’être entendu ! Le droit d’être entendu! Je réclame le droit d’être entendu ! » Juge : « La troisième chose, la troisième chose c’est quoi Monsieur ULRICH ? » Accusé : « On me refuse le droit d’être entendu ! » Juge : « C’est quoi la 3ème chose ? » Accusé : « Eh bien, j’aimerais pouvoir présenter enfin ma requête ». Juge : « Vous ne plaidez pas ! Vous ne plaidez pas ! Accusé : « J’ai tout préparé » Juge : « Après on plaide ! Après on plaide ! La troisième requête, c’est quoi ? Je ne veux pas vous entendre lire et plaider. D’accord ? La présidente on est au procès non le prévenu (La juge perd pied ici) la présidente rappelle au prévenu qu’il n’y a pas lieu actuellement de plaider » Accusé : « Je mandate mon avocat d‘office… (juge interrompe) je mandate mon avocat d’office de faire verbaliser qu’on me refuse le droit d’être entendu ». Juge : « OK, Monsieur ULRICH, c’est quoi la troisième ? » Accusé : « Alors, je peux continuer ? » Juge : « Je ne veux pas de plaidoirie. Dites-lui qu’il doit me dire la 3ème ». Accusé : « Ce n’est pas un plaidoyer. C’est une requête d’une…» Juge : « Je ne veux pas de plaidoyer. Pas de plaidoyer ». Accusé : « Non, s’est une requête d’une décision incidente ! » Juge : « Alors il y a quoi c’est quoi la 3ème,  soit il me répond soit… » Me Rd : « J’ai pas compris ». Juge : « Pardon ? » Me Rd : « Là, j’ai pas compris ce qu’il entendait. Si vous pouvez me le dire en français peut être ce sera plus simple ». Accusé : s’adressant à Me REYMOND en français : « Je n’ai pas le droit d’être entendu». Juge : « Mais vous êtes entendu ! » Accusé : « Non, je suis tout le temps interrompu ». Juge : « Ok d’accord OK, alors là ce sera plus loin. Si vous voulez dire euh qu’il y a violation du droit d’être entendu, c’est pas après moi. D’accord ? Ce sera si vous faites appel, avec …dans le cadre d’un recours. Moi,  avec euh dans le cadre d’un recours, moi là c’est pas ça mais vous êtes entendu, là je vous entends ». Accusé : « Oui, je veux que cette requête… » Juge : « Vous ne pouvez pas lire ça ! » Accusé : en français : « Je veux que cette requête soit intégralement reproduite dans le jugement ». Juge : « Vous voulez ? Alors, donnez-moi, donnez-moi ». BROUHAHA L’accusé transmet à la juge une enveloppe, contenant sa requête écrite, contenant entre autres une clé USB Juge : aboie : « C’est quoi ça ? Une clé USB ? ». Accusé : « En effet. Ainsi, il vous sera facile de la reproduire dans le jugement. Je facilite votre travail ! » Juge : interrompt l’accusé : « Y a-t-il autre chose, Monsieur ULRICH ? » Accusé : « Normalement, c’est comme devant un notaire… (interruption par la Juge) …qu’on peut présenter une requête comme devant un notaire. Vous me prévenez de le faire, mais j’estime que c’est accompli avec la transmission de la requête écrite ». La juge peine à dicter à la greffière au procès-verbal. Juge : « M. ULRICH moi je veux bien vous écouter, je veux bien statuer sur ce qui s’est passé avec (inaudible)… mais vous devez me laisser faire mon travail. Là vous ne me laissez pas faire mon travail  ok alors laissez-moi si j’ai bien compris voilà il y a ma récusation ». Me Hess : « Moi j’ai pas le droit à la clé USB ? ». Me Rd : « Non vous n’avez pas le droit à la clé USB. Moi d’ailleurs non plus » La juge dicte à la greffière. Me Rd : « Il vous demande de signer le formulaire, il demande la récusation et il dépose cette requête incidente. La requête incidente elle reprend tous les points de son courrier du mois d’octobre où il a demandé… ». Juge : La juge dicte à la greffière « Alors on va mettre au nom de Me REYMOND « A titre incident, euh virgule,  acte …». « Vous faites quoi, Monsieur ULRICH ? ». Accusé : se tournant vers le public : « Non, ça ne vaut plus la peine, parce que nous avons encore mieux à faire que… Venez, bonnes gens, nous on part ! Nous partons ! » Juge : « Monsieur ULRICH si vous partez… Vous avez le droit d’être entendu. » Accusé : en français : « Je n’ai pas eu le droit d’être entendu. Vous avez tous ce que j’avais à dire par écrit ». Juge : « M. ULRICH vous serez jugé … ». Accusé : en français : « Mais vous n’avez pas besoin de moi. Bien sûr. Vous pouvez faire votre petit jeu entre vous ». TB : (Observateur) « Moi je serais lui je serais resté. C’est dommage, là il part ça va être intéressant » BB : (Observatrice) « Bah ça changera rien » Juge : « Ceux qui veulent partir partent ,ceux qui veulent rester restent, au revoir On peut lire la requête incidente écrite, sur : www.worldcorruption.info/index_htm_files/gu_2017-11-27_pittet-f.pdf Comme dessert, écoutez l’enregistrement sonore du « blabla » et les cris hystériques de la «Juge»  Véronique PITTET-VUILLÈME ! Difficilement audible au début, mais compréhensible au bout de 4 minutes, la joie à partir de 4 minutes 45 secondes, et le comble du bonheur, dès la 6e minute. Enregistrement suit en fichier mp3
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