Roland Max SCHNEIDER
Worldcorruption.info
Daniel BRODT
Né le 22 février 1948.
Originaire de Wilen b. Wil
TG et Glaris. Etudes
Zürich et Genève. 1975
licence d'avocat en
Thurgovie. De 1980 à
1986 dirige sa propre
étude à Weinfelden.
Depuis 1984 président
de la Cour des recours
pour les affaires liées à la
circulation dans le canton
de Thurgovie. 1986 vice-
président du Tribunal
cantonal Thurgovien. Elu
juge fédéral le 16
décembre 1987.
Présenté par l'Union
Démocratique du Centre
(UDC-Parti du Tribun
Christoph BLOCHER)
Il a aussi été le vice-
président de la secte Shri
Ram Chandra Mission,
dont le siège était
domicilié aux Cullayes où
il réside lui-même. La
Mission a ensuite
déménagé dans un
"ashram" de 5 étage à la
ruelle de Bourg à
Lausanne. Le contrat
d'achat de l'immeuble
(1.0 mio de francs) avait
été signé par le Gourou
Indien et le vice-
président Roland Max
SCHNEIDER.
Le "juge" Roland Max
SCHNEIDER est marqué
par son origine
glaronnaise... C'est un
fait historique : Les pires
baillis de la Thurgovie
étaient des Glaronnais
puisqu'il n'y avait pas
assez à voler chez leurs
propres paysans de
montagne.
Roland Max
SCHNEIDER est
propriétaire et installé
dans sa maison des
Cullayes depuis 1989.
Roland Max SCHNEIDER
Juge Fédéral, Président de la Cour de Cassation
Aujourd’hui retraité mais actif dans un réseau d’influence dangereux.
En Praz Lombert
1080 Les Cullayes / VD
ZURICH Assurances
»
En
1988,
après
sa
nomination
comme
"juge"
fédéral,
Roland
Max
SCHNEIDER
a
acquis
un
terrain
de
4'185
m2
constitué
par
les
parcelles
348
-
350
et
353
sises
sur
la
Commune
des
Cullayes/VD.
La
construction
prévoyait
un
immeuble
de
2'700
m3,
comprenant
piscine
couverte,
engins
et
appareils
de
fitness,
sauna
etc... pour un
budget global de CHF 2'960'000.
-.
»
Les
fonds
propres
à
hauteur
de
CHF
560'000.-
auraient
dû
être
constitués
par
le
produit
net
de
la
vente
de
sa
propriété
de
Stettfurt,
comme
le
démontre
l'accord
du
crédit
de
construction
de
la
BPS
(aujourd'hui
CREDIT
SUISSE).
Très
exigeant
sur
le
prix
de
vente,
cette
propriété
n'a
pas
pu
être
vendue
comme
prévu
et
ainsi,
lors
de
la
construction
de
sa
maison
des
Cullayes,
Roland
Max
SCHNEIDER
n'a
fourni
aucun
fonds
propres,
contrairement
à
son
engagement.
Cette
situation
l'a
conduit
à
un
manque
de
liquidités
qui
l'a
certainement
poussé
à
l'escroquerie dont il est question ici.
»
Pour
réaliser
sa
construction,
le
"juge"
fédéral
SCHNEIDER
a
fait
appel
à
l'architecte
Erhard
KELLER,
sélectionné
parce
qu'il
était
au
bénéfice
d'une
assurance
RC
de
la
ZURICH
Assurances,
on
comprendra
plus
loin
pourquoi...
L'architecte
KELLER
aurait
mieux
fait
de
se
casser
une
jambe
le
jour
où
il
a
accepté ce mandat, qui va tourner pour lui en véritable cauchemar...
»
Alors
que
la
construction
touchait
à
sa
fin,
Roland
Max
SCHNEIDER
a
rompu
le
contrat
qui
le
liait
à
son
architecte,
prétextant
fallacieusement
un
dépassement
de
budget,
une
insuffisance
de
surveillance
de
chantier,
une
planification
mal
faite
et
que
la
construction
était
affectée
de
nombreux
défauts.
C'est
sur
cette
base
qu'il
a
refusé
de
payer
le
solde
des
honoraires
et
introduit
une
action
contre
la
responsabilité
civile
de
l'architecte,
la
ZURICH
Assurances,
pour
un
dommage
subi de CHF 530'000.-.
»
A
ce
stade,
le
coût
de
la
construction
avoisinait
CHF
1'200'000.-
pour
un
budget
initial
de
CHF
1'626'800.-
sans
le
terrain,
ce
qui
rendait
l'accusation
de
dépassement
de
budget
délirante.
Les
autres
griefs
n'ont
jamais
pu
être
démontrés.
»
Dans
un
premier
temps,
sous
l'influence
du
"juge"
SCHNEIDER,
M.
Dufour,
expert
de
la
ZURICH
Assurances,
après
avoir
refusé
tout
d’abord
une
quelconque
indemnisation,
il
avait
finalement
admis
pouvoir
accepter
une
indemnisation
de
CHF
27'000.-
bien
que
les
faits
reprochés
aient
été
infondés...
Mais
il
avait
à
faire à un "juge fédéral"...
»
Ces
petits
défauts
auraient
du
reste
pu
être
corrigés
si
le
"juge"
SCHNEIDER
n'avait
pas
résilié
son
mandat.
Quand
au
dépassement
de
budget,
il
n'a
jamais
été
démontré.
Pour
la
petite
histoire,
il
faut
savoir
que
le
"juge"
fédéral
avait
déclaré
qu'il
"ne
faisait
jamais
les
choses
à
moitié"...
C'est
ainsi
qu'il
faisait
venir
par
poste
des
échantillons
de
marbre
de
l'étranger
et
ne
reculait
devant
aucune
dépense...
»
Insatisfait
par
cette
indemnisation,
Roland
Max
SCHNEIDER
s'est
adressé
à
son
"copain
d'études"
Werner
SCHWANDER
,
directeur
au
siège
de
la
ZURICH
Assurances
à
Zürich
et
inscrit
au
RC
de
12
autres
sociétés
du
groupe,
pour
obtenir satisfaction.
»
A
l'insu
de
KELLER
et
à
l'encontre
des
promesses
qui
lui
avaient
été
faites
par
les
Inspecteurs
de
sinistre,
de
ne
rien
conclure
sans
son
accord,
Werner
SCHWANDER
a
organisé
une
négociation
à
Fribourg
(loin
des
yeux
de
KELLER),
avec
son
copain
"juge"
et
à
laquelle
ont
participé
un
"pseudo-expert
architecte
de
Lutry,
le
Prof.
GAUCH,
Prof.
en
Droit
de
la
construction
et
les
Inspecteurs
de
sinistre romands.
»
D'entrée
de
cause,
il
a
été
établi
qu'il
n'y
avait
ni
défaut
de
construction,
ni
dépassement de budget...
»
Schneider
reprochait
aussi
la
conception
de
sa
construction
sous
la
forme
de
"2
corps
".
Cet
argument
n'a
pas
été
retenu,
puisque
compte
tenu
du
volume
du
bâtiment
de
2'700
m3,
un
immeuble
compact
aurait
représenté
une
masse
trop
violente,
qui
n'aurait
pas
répondu
aux
exigences
du
règlement communal.
»
Une
négociation
ardue
a
été
mise
en
place.
Sur
insistance
de
leur
"Directeur",
les
responsables
du
"sinistre" avaient finalement consenti
une indemnité de CHF 50'000.- qu'ils jugeaient déjà abusive.
»
A
20.00
H,
les
intervenants
ont
alors
été
priés
de
se
retirer
et
la
discussion
s'est
poursuivie
entre
le
"juge"
SCHNEIDER
et
son
"copain"
Directeur
de
la
ZURICH
Werner
SCHWANDER
pour
aboutir
à
un
arrangement
définitif,
tard
dans
la
nuit...
Ce
"copinage"
a
permis
au
juge
fédéral
SCHNEIDER,
de
toucher
une
indemnisation
de
CHF
440'000.-
sous
déduction
de
la
franchise
de
CHF
50'000.-,
soit
net
un
montant
de
CHF 390’000.-.
»
Cet
accord
a
été
conclu
sans
préjudice
pour
l'assuré
(Architecte
KELLER)
à
qui
la
franchise
n'a
jamais
été
réclamée...
Si
l'architecte
avait
commis
une
quelconque
erreur
justifiant
cette
indemnisation,
il
ne
fait
aucun doute que la ZURICH Assurances aurait exigé une participation financière de son assuré.
»
Malgré
cet
accord
sans
préjudice
pour
l'assuré,
l'architecte
KELLER
a
protesté
contre
cet
accord
conclu
hors
de
sa
présence
et
à
son
insu.
La
pseudo-justification
de
la
ZURICH
ne
contribue
pas
à
donner
une
quelconque valeur à cet arrangement.
»
Nous
avons
vu
plus
haut
que
le
"juge"
Roland
Max
SCHNEIDER
aurait
dû
financer
des
fonds
propres
à
hauteur
de
CHF
560'000.-.
Nous
avons
vu
aussi
que
sa
demande
en
RC
auprès
de
la
ZURICH
se
montait
à
CHF
530'000.-
sans
que
l'on
puisse
comprendre
comment
il
a
fixé
sa
demande
en
indemnités,
si
ce
n'est
qu'elle
est
à
peu
près
l'équivalent
des
fonds
propres
non
encore
financés
à
ce
moment-là...
En
manque
de
liquidités, il avait le couteau sous la gorge !
»
N'ayant
toujours
pas
obtenu
l'indemnisation
requise
de
CHF
530’000.-,
malgré
la
générosité
de
la
ZURICH
assurances,
SCHNEIDER
a
alors
lancé
une
poursuite
à
l'encontre
de
son
Architecte
KELLER,
pour
la
différence manquante de CHF 140'000.-
»
L'Architecte
Erhard
KELLER
y
a
bien
sûr
fait
opposition
et
les
Tribunaux
ont
dû
trancher
l'affaire.
Mais
comme
SCHNEIDER
était
"juge"
fédéral,
il
a
fallu
constituer
un
collège
de
juges
fédéraux
et
toute
cette
procédure a traîné plusieurs années.
»
Finalement,
le
"Collège
des
juges
fédéraux"
a
statué
contre
Roland
Max
SCHNEIDER.
Sur
une
créance
requise
de
CHF
532'500.-,
le
TF
a
reconnu
le
droit
à
une
indemnisation
de
CHF
93'694.-
,
sans
avoir
connaissance
que
CHF
390’000.-
avaient
été
versés
en
1992.
Ce
jugement
du
27
juin
2000
démontre
ainsi
que
les
revendications
de
SCHNEIDER
étaient
largement
surfaites
et
qu’en
exigeant
une
créance
initiale
de
CHF
532’500.-,
il
avait
surévalué
de
575
%
le
prétendu
dédommagement
auquel
il
aurait
finalement
eu
droit.
»
Dès
lors,
si
l’on
prend
en
considération
l'indemnité
de
CHF
390'000.-
versée
le
15.09.1992
discrètement
par
la
ZURICH
Assurance
à
l’insu
de
l’architecte
KELLER
-
Roland
Max
SCHNEIDER
avait
toujours
dissimulé
cette
information
-
à
laquelle
on
ajoute
les
CHF
93’694.-
accordés
par
le
Tribunal
fédéral
dans
son
arrêt
du
27
juin
2000,
ce
sont
donc
CHF
483’694.-
d’indemnités
qu’a
touchées
abusivement
le
juge
Fédéral
SCHNEIDER...
Si
l’on
tient
compte
encore
des
CHF
50’000.-
de
franchise
déduits
par
la
Zürich
Assurances
lors
du
versement
des
CHF
390’000.-,
le
juge
fédéral
Roland
Max
SCHNEIDER
a
touché
CHF
533’694.00
d’indemnisation,
soit
plus
que
ce
qu’il
avait
demandé,
mais
la
franchise
a
été
mise
à
sa
charge
et
non
à
la
charge
du
détenteur
le
la
police
RC
Erhard
KELLER...
En
d’autres
termes,
le
Juge
fédéral
Roland
Max
SCHNEIDER
a
financé
la
presque
totalité
de
ses
fonds
propres
par
une
indemnisation
indue,
obtenue
grâce
à
l’abus de pouvoir que lui a permis sa fonction.
C’est
une
honte
pour
l’Etat
de
Droit...
Et
c’est
un
membre
de
la
plus
haute
Cour
nationale
du
Pays
qui
pratique
ces
abus
de
Droit
cautionné
par
ses
collègues...
Nous
somme
là,
face
à
du
Crime
Organisé
en
Bande !
SCHNEIDER "juge" fédéral encaisse...
les petits épargnants trinquent !
»
La
dissimulation
de
cette
information
capitale
relève
de
l’escroquerie
au
sens
de
l’Art.
146
CP
et
démontre
que
la
Zürich
Assurances
a
été
complice
de
ce
crime
au
détriment
de
son
Client
assuré
par
une RC professionnelle.
»
Il
est
évident
que
cette
indemnisation
de
CHF
390’000.-
n’était
qu’un
cadeau
offert
par
la
Zürich
Assurances
à
un
juge
fédéral
pour
s’assurer
de
ses
bons
services
futurs...
Ceci
au
détriment
des
autres
assurés
!
Si
cette
prestation
avait
réellement
été
due,
la
Zürich
Assurances
n’aurait
pas
manqué
d’exiger
de
son
Client
Erhard
KELLER,
qu’il
assume
la
franchise
contractuellement
due
en
cas
de
sinistre.
Or,
le règlement de cette franchise n’a jamais été demandé.
»
Les
procédures
de
recours
d’Erhard
KELLER
ont
démontré
que
les
juges
fédéraux
sont
soudés
dans
leur
corporation
puisqu’il
ont
suivi
partiellement
les
exigences
de
leur
“Frère”
SCHNEIDER
en
lui
octroyant
une
indemnité
de
93’694.-
à
laquelle
s’est
ajoutée
une
remise
des
honoraires
de
l’architect
de
CHF
19’562.-,
soit
au
total
un
dédommagement
de
complaisance
de
CHF
113’256.-.
Admettons
le
postulat
que
le
collège
des
juges
fédéraux
n’ait
pas
eu
connaissance
du
versement
préalable
de
l’indemnité
de
CHF
390’000.-
citée
plus
haut...
»
Cependant,
si
en
fonction
de
faits
maintenant
connus
,
les
membres
du
Tribunal
Fédéral
ne
poursuivent
pas
leur
“Frère”
pour
escroquerie
(crime
non
couvert
par
la
prescription),
nous
aurons
alors
la
preuve
de
la
complicité
du
collège
des
juges
fédéraux
dans
le
crime.
Nous
pourrons
dès
lors
parler d’un crime organisé en bande et par métier.
»
Cette
situation
démontre
ainsi
la
nécessité
de
récuser
en
bloc
un
Tribunal,
lorsque
l’un
de
ses
membres
est
concerné
et
ils
le
sont
tous
au
travers
de
leur
appartenance
à
la
Secte
Franc-Maçonne,
puisque
la
vision
objective
du
cas
qui
se
présente
ne
peut
jamais
être
garantie
et
l’application
du
Droit
suisse
encore
moins.
La
“constitution”
Franc-Maçonne
contraignant
ses
membres
à
dissimuler
leur
appartenance
à
la
Secte,
même
si
un
juge
prétend
ne
pas
y
appartenir,
nous
ne
pourrons
pas
y
croire,
puisqu’il
est
obligé
de
mentir.
La
note
suivante
,
donne
un
aperçu
de
la
situation
réelle.
Seule,
l’application
des
7
requêtes
déposées
le
23
mai
2015 au Conseil Fédéral pourra rétablir la situation !
»
Nous
avons
ici
la
démontration
évidente
qu'une
affaire
de
copinage
a
tourné
en
CORRUPTION
au
profit
d'un
"juge"
fédéral
et
de
surcroit
au
détriment
d'assurés
qui
se
sont
vu
amputer
leurs
avoirs
vieillesse
de
dizaines
ou centaines de milliers de francs, parce que les résultats de leur assureur étaient pénalisés...
»
Combien
a-t-il
fallu
de
cotisations
mensuelles
de
petits
épargnants
pour
financer
l'escroquerie
du
"juge"
fédéral
Roland
Max
SCHNEIDER
?
Nous
sommes
gouvernés
par
une
bande
de
"petits
copains"
qui
s'en
mettent
plein
les
poches,
à
notre
détriment,
tous
protégés
par
le
secret
maçonnique,
puisque
la
plupart
ont
adhéré à la Secte.
»
Bien
entendu,
toutes
les
procédures
judiciaires
entreprises
ont
permis
au
"juge"
fédéral
d'être
très
satisfait
des
services
de
sa
corporation
Au
niveau
cantonal,
vaudois,
n'en
parlons
pas,
les
oppositions
aux
commandements
de
payer
lancés
par
SCHNEIDER
ont
tout
de
suite
été
levées
par
la
"juge"
Marianne
GANI
du
Tribunal
d'arrondissement
de
Nyon,
cautionnée
au
niveau
cantonal
par
les
"juges"
Jean-Jacques
ROGNON,
Blaise
BATTISTOLO
et
Dominique
CARLSSON...
Soulignons
au
passage
que
ces
quatre
"pseudo-
juges"
sont
bien
connus
pour
leurs
CRIMES
JUDICIAIRES
dans
de
très
nombreux
dossiers,
dont
celui
des
royalties FERRAYÉ !
Gerhard
ULRICH
accusé
de
contrainte
par
les
juges
fédéraux
Heins
AEMISEGGER
et
Roland Max SCHNEIDER, devant le Tribunal Pénal Fédéral (TPF) de Bellinzone
«
Madame
la
juge
pénale
fédérale
Miriam
FORNI,
au
lieu
de
citer
mes
témoins
à
décharge,
vous
vous
êtes
acharnée
à
redemander
à
la
police
cantonale
VD,
s’il
y
avait
eu
délit
de
ma
part.
Mais
celle-ci
a
confirmé
encore
une
fois
par
lettres
du
02.
et
03.02.10
(=
annexe
3,
respectivement
annexe
4)
que
je
n’avais
commis
aucune
infraction
pendant
la
période
qui
nous
intéresse.
Ceci
démolit
la
crédibilité
de
vos
“témoins“
Aemisegger
et
Schneider
[Rédac.:juges
fédéraux
(sic
!)
]
.
Ceux-ci
ont
colporté,
sans
pour
autant
l’étayer
concrètement,
que
je
les
aurais
menacés,
et
ont
insinué
des
contraintes.
Jamais
ils
n’ont
précisé,
où,
quand,
et
comment
cela
se
serait
passé,
car
il
s’agit
de
déformations
de
faits
ou
carrément
d’inventions.
Dans
le
langage quotidien, on désigne de tels propos comme des mensonges
»
.
L’entier du Procès-verbal de l’audience du TPF des 13 et 14 avril 2010 est accessible
ICI
Auf Deutsch
HIER
Gerhard ULRICH a finalement été acquitté des accusations portées contre lui.
Complément du 21 juillet 2016 au PV précité :
Au
mois
d’avril
2016,
Gerhard
ULRICH
a
rencontré
l’architecte
Erhard
KELLER,
victime
des
escroqueries
du
«
juge
»
fédéral
SCHNEIDER,
6
années
après
le
procès
décrit
ci-dessus.
Il
a
alors
compris
que
le
Ministère
public
de
la
Confédération
(MPC)
et
l’Office
des
juges
d’instruction
fédéraux
ont
recouru
à
ses
dépens
dans
cette
affaire,
à
la
pratique
strictement
illicite
du
«
double
dossier
»
:
l’un
accessible
à
l’accusé,
et
l’autre, plus volumineux, exploité en exclusivité par les sbires.
Dans le cadre de l’enquête menée contre Gerhard ULRICH pour prétendue contrainte de juges fédéraux, la
«
chambre
noire
de
la
nation
»
(Ministère
public/Office
des
juges
d’instruction
fédéraux)
ont
pratiqué
le
«double
dossier»
.
L’architecte
Erhard
KELLER,
victime
des
escroqueries
du
«
juge
»
fédéral
Roland
Max
SCHNEIDER,
fut
cité
à
Berne.
Il
confirma
point
par
point
l’exactitude
de
mes
publications
sur
Internet
concernant
la
corruption
et
les
escroqueries
de
SCHNEIDER.
C’était
contraire
aux
intentions
de
vouloir
condamner
Gerhard
ULRICH.
C’est
pour
cette
raison
que
les
«
magis-rats
»
fédéraux
ont
fait
recours
au
dossier double, en versant cette preuve gênante à décharge, dans une case inaccessible à l’accusé.
Hélas,
ils
se
sont
piégés
eux-mêmes,
car
ainsi,
le
test
de
plausibilité
de
la
corruption
et
des
escroqueries
de
Schneider
a
été
réalisé
d’office.
Erhard
KELLER
était
affirmatif.
Il
peut
le
confirmer
–
joignable
sur
le
numéro
de son portable (tenu à disposition sur demande adressée à
www.worldcorruption.info/contact.htm
Le Conseil Fédéral complice
Le
15
mars
2013,
Gerhard
ULRICH
dénonçait
l’escroquerie
(
deutsche
Version
)
pratiquée
par
le
juge
fédéral
Roland
Max
SCHNEIDER
contre
la
Zürich
Assurances,
avec
le
consentement
(complicité)
de
l’ami
du
juge directeur de la société d’assurance.
L’escroquerie
est
un
crime
poursuivi
d’office
et
lorsqu’un
Conseiller
Fédéral
y
a
été
rendu
attentif,
on
pourrait
attendre pour le moins qu’une enquête soit ouverte.
Tel
n’a
pas
été
le
cas
jusqu’à
ce
jour
(08.2016)
et
cette
situation
nous
donne
une
fois
de
plus
la
preuve
que
la
séparation
des
pouvoirs
n’existe
pas
!
Roland
Max
SCHNEIDER
est
un
juge
fédéral
nommé
sous
la
bannière
UDC
.
Ueli
MAURER
est
Conseiller
fédéral
UDC
et
nous
avons
confirmation
que
les
politiciens
de
l’UDC
«
convoquent
régulièrement
leurs
juges
pour
les
sermonner
et
leur
expliquer
comment
juger
»...
Ce
qui
est contraire à l’Etat de Droit et au Droit constitutionnel !
Une
fois
de
plus,
seule
la
mise
en
application
des
7
requêtes
déposées
l
e
23
mai
2015
au
Conseil
Fédéral pourra rétablir la situation, et devient urgente !
Tout
ce
context
fait
état
de
la
dégénérescence
de
nos
Institutions.
Nous
ne
devons
plus
accorder
aucune
confiance,
ni
aucun
crédit
à
ceux
qui
dirigent
et
administrent
le
Pays.
Ils
sont
aujourd’hui
presque
en
totalité
sous
le
contrôle
d’une
organisation
criminelle
internationale
qui
ne
peut
évoluer
que
par
le
secret
qu’elle
impose à ses membres et le serment à leur propre “constitution” qu’ils sont obligés de prêter.
Ce serment contrevient à la Consititution fédérale et place nos dirigeants en situation de trahison !
BernLeaks